~Oo- Poèmes -oO~

Loweleï Dénéa a écrit:

Ha, et comme je te l’ai déjà dit : trouve-toi un avatar et on en reparlera

- Gardez votre hargne pour le rp. Et lâchez vous, seulement dans ce contexte.

1)Trouvez un avatar
2)Tuer Arceus

Okay ça devrait aller

Le background de mon personnage étant martial et surnaturel... Ce mélange ne devrait pas présenter de graves difficultés à évacuer les brutes sanguinaires.

Le gourdin, ça marche toujours !

Note : Plan B -> recommancer le plan A en plus fort !

Et un ancien ! ( que je n'ai pas fait seule ^^' )


La Lune reflète son image
Dans le miroir
De ton âme grise
Cynique
La solitude est un mouroir
Ou seul tu peux survivre
Et tu jubiles !
Les lentes litanies
Ne peuvent l’émouvoir
La Lune échappe à tes tourments
Puérils
Ravir ton dernier soupirant
Si l’oubli vient
La Lune tire sa révérence
Désormais, tu peux mourir...

J'ai sept trésors, bien cachés
Pour toujours, ils sont gâchés,
Mes sept avoirs
Mais c'est à voir.

Je les tiens de mes ancêtres
L'histoire de ma lignée
En les conservant, c'est peut-être
Histoire de m'aligner.

Un jour je le transmettrai
A qui de droit
Cet acquis de roi
Pour la postérité.

Mwé, stait surtout un poème expérimental... Mais les rimes à cent pourcents c'est moche, parce que ça fait artificiel.



En arabesques, j'étale l'encre
La force et l'espoir m'en parviennent
Les lignes, je trace, je lie, j'échancre
Parce que cette encre c'est la tienne

Je me retrouve dans l'adversité
Face à ce rectangle blanc
Avec ta générosité
Je retrouve de l'élan

Ton donc si anodin
M'a donné l'ardeur
De réussir ce matin

Grâce à toi je réussis
Je surpasse ma peur
Grâce à toi je survis.


C'est aussi mystérieux que Mallarmé ^^

Ca parle d'un examen de passage que j'ai réussi grâce à la force que j'ai trouvée parce que la cartouche d'encre que j'utilisais m'avait été donnée par une personne que j'admire énormément...

Don... Mon clavier a fourché ^^°

Est-ce la fin ?


Tout doucement je m’élève
Je me sens flotter
Autour de moi tout devient si clair
Je ne vois plus rien
Est-ce la fin ?

Ma vie défile devant moi
Je me revois enfant
Je me revois ado
Je m’imaginais grande
Mais en ce moment je suis petite
Est-ce la fin ?

Je pense à ce que j’ai vécu
Je pense à ceux que j’ai aimé
Je pense à ceux qui vivent
Mais qu’est-ce que la vie ?
Est-ce la fin ?

J’entends un son doux
Comme un clairon d’or
Mes oreilles s’éveillent étrangement
Des picotements me prennent
Est-ce la fin ?

Puis j’entrouvre un œil
Une lueur rouge j’aperçois
Clignotante et présente
Le diable ?
Est-ce la fin ?

J’entrouvre mon autre œil
Mes sens se réveillent
Ce picotement était mon nez qui chatouillait
Cette lueur rouge clignotante était l’alarme d’un réveil
Qui d’un son doux me réveillait
C’est le début

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

Pas très ritmique, hu ?

Plongée dans les ténèbres, nuit sans fin
Quand la lune blafarde nargue de sa puissance
Le mal jamais ne pourra faire mieux qu'un pouvoir feint
Quand son aura provient du bien, cynique vengeance.


Question existentielle:

L'amour amoureux, décrit comme l'apanage de l'humain, est en fait une évolution suivant le principe de protection de la mère de la progéniture, avec une motivation et une dépendance psychique vis-à-vis d'elle. Elle va dans les deux sens afin que le mâle ne se lasse pas d'efforts inutiles.

Alors: Est-ce contre-nature d'aimer sans enfants, est-ce se rabaisser à un niveau animal d'aimer, est-ce un égoïsme utilisant tacitement les faveurs de l'autre... ?

Voici un nouveau poème
Ecrit à une heure de fourche, le 16/01

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Quand je te vois


Quand je te vois
Mon cœur palpite,
Une sensation de bien-être
M’envahit de toute part

Quand je te vois
Mes yeux ne te quittent pas,
J’aimerais te regarder encore
Et encore, toujours

Quand je te vois
Mes bras ne veulent que toi,
Te serrer fort contre moi
Et ne plus te lâcher

Quand je te vois
Mes lèvres réclament les tiennes,
Pour les embrasser tendrement
Goûtant la douceur de ton âme

Quand je te vois
J’aimerais être avec toi
Simplement

L'absence est à l'amour ce qu'est le vent au feu, éteint le petit, sublime le grand.

Poursuite du bonheur, nouveaux malheurs.

Le vrai amour est l'indicible. Il en résulte que la passion subite n'ait aucune raison d'être.

Quand on met des noms sur ses émotions, on les déforme, on les radicalise, et on se ment à soi-même.

Les vraies bonnes décisions sont prises sur le moment sans y réfléchir longuement. Leurs bienfaits apparaîtront avec le temps.

Fais apprendre à l'ennemi une de tes faiblesses, la sienne sera de se concentrer dessus.

Ne prévois pas les actions de ton ennemi, tu agirais du coup logiquement et prévisiblement.

Connais ton ennemi, et utilise ce dont son esprit a besoin pour l'affaiblir.

Ne porte jamais le coup de grâce, épargne ton adversaire et fais-en un vassal.

Prépare ta retraite quand tu n'as pas de raison de le faire, elle viendra bien assez prochainement.

*

Parce que rien ne peut arriver

Puisqu'il faut qu'il y ait une justice

*

Ce sont deux phrases d'une chanson de Raphaël, "Caravane", que j'adore. Elles me parlent.

--

La vie est injuste... Et encore =/

**

Marche face au soleil sans craindre la brûlure du bonheur et laisse ton ombre lutter contre les ténèbres dans ton dos.

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--> Ca vient d'un site avec des citations ( mais je sais plus lequel navrée ).
J'aime bien cette phrase =)

**


Il faut être économe de son mépris tant les nécessiteux sont nombreux.



**

Mépris.org

Je préfère mourir de mon vivant

coluche

L'éternité c'est long,... surtout vers la fin [Woody Allen]

Qui vole un oeuf n'a pas de poule.



Proverbe campagnard.

Puisqu'on est dans les phrases philosophiques et compagnie, j'en ai une bonne:
"Les droites parallèles se coupent à l'infini"
Oui, oui, ça existe, demandez à ma prof de physique...

Deux droites parallèles se rejoignent à l'infini... Effectivement =/


(On peut voir ça par la tangente de 90°, qui donne 1/0 = (en quelque sorte) l'infini).


La masse est une énergie, dont la valeur vaut cette masse multipliée par la vitesse de la lumière au carré.

La matière, c'est l'énergie, en fait

Génial les math ^^
J'ai une autre citation
Qui nous vient de notre très cher Jean-Jaques Rousseau

« L'homme naît bon, mais la société le corrompt. »

Il a été influencé par les Lumières avec leur credo sur la nature

"L'oiseau se penche, la chauve-souris se pend, le serpent se love, le ham s'terre..."

Je sais même plus de qui elle est celle là, ptet de Desproges